Espions - espions emprisonnés

Les agents qui se font arrêter sont automatiquement identifiés (par leur origine et leur nom uniquement, pas par leur type ni leur expérience) par le pays visé, et leur identité est également révélée au monde entier. Le pays duquel provient l’espion subira des retombées diplomatiques négatives, particulièrement avec le pays visé par l’espionnage (score diplomatique bilatéral) mais également avec tous les autres pays (score diplomatique global).

En plus de cela, son contingent d’espions disponibles sera (au moins provisoirement) réduit d’une unité, et cela a son importance sachant qu’on ne peut pas recruter autant d’agents qu’on veut (comme c’était le cas par le passé). Chaque pays doit composer avec la limite du nombre maximum d’agents, qui dépend de la somme des scores politique et militaire (limite qui peut donc évoluer).

Si l’espion se fait capturer par un PJ, ce dernier a plusieurs options. Il peut :

  • le libérer, dans sa grande bonté
  • le tuer, de sang froid ou avec délectation
  • le transférer dans un autre pays, pour s’en laver les mains (une coopération militaire entre les pays est nécessaire)
  • l’interroger, pour voir s’il a bien appris sa leçon (les démocraties ne pourront pas utiliser des moyens de pression supérieurs à « faible »)
  • lui donner l’asile politique, s’il a été sage (option précédemment réservée aux seules démocraties, mais désormais disponible pour tous les régimes)
Espions captifs

Le transfert et l’interrogatoire sont autant d’occasions que l’agent peut mettre à profit pour prendre la fuite, et cela d’autant plus que l’agent est expérimenté. Si l’interrogatoire débouche sur le décès de l’agent, cela aura des conséquences négatives sur la diplomatie du pays qui s’est rendu responsable de ce décès, et les relations entre les deux pays impliqués vont probablement s’envenimer.

Les espions ne s’enfuient pas lorsque vous leur proposez l’asile politique, mais ils peuvent refuser, ce qui vous occasionnera une perte financière, puisque cette tentative de corruption n’est pas gratuite, et l’argent offert est perdu même en cas de refus (il s’agit d’une somme standard, peu importe le profil de l’espion). Mais si ça ne vous refroidit pas, sachez que vous pouvez refaire une nouvelle tentative chaque trimestre et pour chaque espion étranger que vous détenez. Si l’un d’eux accepte l’asile politique, il travaillera désormais pour vous, et vous aurez accès à l’historique des missions qu’il a réalisées pour son ancienne patrie. Sachez aussi que ce retournement de veste est rendu public dans les actions du tour, mais sans les détails sur le nom de l’agent et son expérience : c’est juste la nationalité des deux pays concernés qui est révélée.

Si l’espion se fait accrocher chez un PNJ, celui-ci le conservera en détention tant que son pays d’origine ne fera aucune démarche pour le récupérer. Ce dernier peut en effet négocier la libération de ses agents moyennant versement d’une forte somme d’argent, qui varie avec le type d’espion et son expérience, ainsi qu’avec le niveau de diplomatie bilatérale entre les deux pays.

Négocier libération

Si le PNJ accepte la somme, l’agent peut rentrer chez lui immédiatement. On ne peut proposer qu’une seule somme par espion à chaque tour. Si la somme est jugée insuffisante par le PNJ, l’espion est maintenu en prison mais l’argent est tout de même empoché ! Il ne faut donc pas être trop près de ses sous dans ces circonstances.

Un agent qui rentre au pays après un passage par la case prison n’acquiert pas d’expérience, même s’il a réussi à s’infiltrer et qu’il n’a été arrêté qu’après, lorsqu’il opérait sur le territoire.

Pendant qu’un agent est emprisonné, son pays d’origine ne lui verse pas de salaire (manquerait plus que ça !).

Lorsqu’un pays est totalement envahi, tous les espions qui étaient détenus dans ses prisons sont immédiatement libérés. Le territoire où ils se sont fait arrêter n’a pas d’importance. Ils sont en quelque sorte considérés comme pensionnaires d’une prison centrale, qui n’est pas liée à un territoire particulier, seulement au pays.

A signaler aussi que lorsque vous avez des agents infiltrés (mais non captifs) sur un territoire que vous envahissez vous-même par la suite, ces agents restent sur le territoire après l’annexion, même s’il devient le vôtre. C’est à vous qu’il appartient de les rappeler de leur mission.

Services secrets

  1. Généralités sur les espions
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