ONU - actions
En fonction de son statut, chaque pays aura accès à diverses possibilités d’actions à l’ONU. Nous allons voir quelles actions sont possibles pour quelle catégorie de pays.
- S'exprimer en tribune
- Participer aux débats du Conseil de Sécurité
- Déposer des motions onusiennes
- Voter des motions
- Subir ces motions
- Poser un veto sur les motions
- Etre élu Secrétaire Général
- Voter lors de l'élection du SG
- Faire partie du Bureau de l'ONU
- Gérer le budget de l'ONU
- Recevoir un salaire
- Proposer un ordre du jour
- Voter un ODJ
- Faire un voyage officiel
S’exprimer en tribune
Tout PJ dispose chaque trimestre d’un nombre limité de discours sur les tribunes publiques (TDN, OMC, tribunes continentales). Le nombre maximum de discours varie suivant le pack choisi, entre 10 et 25 par tour. Les membres du Bureau de l’ONU et le SG disposent d’un quota supplémentaire de discours : 50 de plus par tour. Les discours sur les tribunes privées (dont le Conseil de Sécurité de l'ONU) ne comptent pas dans ces quotas.
Les discours des membres du Bureau de l’ONU et du SG sont dissociés entre ceux prononcés par le dirigeant du pays et ceux au nom du dirigeant à l’ONU, et chacun de ces deux profils a son quota propre de discours. Un nom et un avatar différents de ceux du dirigeant du pays s’affichent lorsqu’on fait un discours en tant que membre du Bureau de l’ONU (si un nom et un avatar ont été choisis après avoir été nommé au bureau, car sinon, c’est un point d’interrogation qui s’affiche).
Pour tous les membres du Bureau de l’ONU, si le discours est fait en tant que tel, et non en tant que dirigeant du pays, le drapeau qui s’affiche en tribune à côté du discours est celui de l’ONU, et non celui du pays d’origine du dirigeant.
Les pays qui ont un score diplomatique global d'au moins 75% sont tenus de faire un nombre minimum de discours par trimestre à la tribune de l'ONU et au Conseil de Sécurité de l'ONU (s'ils y ont une place). Ce nombre de discours minimum (d'au moins 280 caractères chacun) équivaut à leur score diplomatique divisé par 10 (par exemple minimum 8 discours si leur score diplomatique est de 80%). Dans le cas contraire, ils subiront, au passage de tour suivant, une baisse de leur score diplomatique global, d'autant de % qu'il manque de discours pour atteindre leur quota minimal.
Les autres pays ne sont, quant à eux, pas tenus de faire un nombre minimum de discours chaque trimestre. Mais une participation régulière aux débats est quand même recommandée.
Les PNJ ne s’expriment pas à la tribune de l’ONU, faute de joueur pour diriger le pays.
Participer aux débats du Conseil de Sécurité
Une tribune spéciale est dédiée aux 5 membres permanents de l’ONU (USA, Chine, Russie, France, Royaume-Uni) ainsi qu’aux 5 membres temporaires du Bureau de l’ONU (SG, SDJ et les directeurs de la BM, du FMI et du PNUD). Cette tribune n’est pas accessible aux autres pays, elle est donc privée, mais ne nécessite pas de code pour y entrer et participer aux débats.
C’est un lieu de discussion avant tout, mais pas une discussion totalement libre car les membres le sont par défaut : ils ne se choisissent pas entre eux. Il peut donc y avoir des fuites, ce qui fait que cette tribune est souvent désertée au profit de tribunes privées d’alliances entre des membres qui ont des intérêts communs ou plus d’affinités.
Les pays qui ont un score diplomatique global d'au moins 75% sont tenus de faire un nombre minimum de discours par trimestre à la tribune de l'ONU et au Conseil de Sécurité de l'ONU (s'ils y ont une place). Ce nombre de discours minimum (d'au moins 280 caractères chacun) équivaut à leur score diplomatique divisé par 10 (par exemple minimum 8 discours si leur score diplomatique est de 80%). Dans le cas contraire, ils subiront, au passage de tour suivant, une baisse de leur score diplomatique global, d'autant de % qu'il manque de discours pour atteindre leur quota minimal.
Déposer des motions onusiennes
Seuls les PJ peuvent déposer des motions à l’ONU.
Un même pays peut déposer plusieurs motions, pour autant qu’il ait suffisamment de points de politique. On peut déposer une motion par tour pour chaque tranche de 750 points en politique. On ne perd pas de points de politique en déposant des motions.
Certaines restrictions existent concernant les motions onusiennes. Les motions « négatives » ne peuvent pas toutes être demandées simultanément contre le même pays. On ne peut en demander que 2 à la fois, et de plus, ces motions sont graduelles : on ne peut pas proposer d’emblée une intervention armée par exemple. Si les premières motions sont approuvées, les suivantes peuvent être déposées. Si elles ne sont pas approuvées, alors on ne peut pas déposer les suivantes, et il faut attendre 2 tours pour redéposer le même type de motion contre le même pays.
Pour les motions « positives », les pays cibles ne doivent pas dépasser certains seuils. Par exemple, une aide financière de l’ONU n’est plus possible envers un pays qui a atteint la barre des 1000 points en économie.
Les motions onusiennes, à l’instar des déclarations de guerre, ne peuvent pas être déposées en toute fin de tour (après 19h), pour laisser la possibilité à une majorité de pays de voter. Elles ne peuvent pas non plus être annulées.
Voter des motions onusiennes
Tous les pays, même les PNJ, peuvent voter des motions déposées à l’ONU. Les PNJ votent en fonction de leurs relations diplomatiques avec le pays qui a déposé la motion et avec celui visé par la motion. Le vote des motions, facultatif pour les PJ, n'a pas de conséquences sur le score diplomatique des pays qui votent : chaque pays peut donc voter sans se soucier de l’effet que son vote aura sur son score diplomatique. Il n’est toutefois pas impossible que le pays visé par la motion (négative) subisse un petit effet diplomatique si la motion est adoptée.
Le nombre de motions réellement mises en pratique est limité par le budget de l’ONU, et cela même si beaucoup de motions ont reçu des votes en suffisance. Cela est fait notamment dans l’idée d’éviter la masse de motions d’aides financières soumises au vote en début de partie avec pour seul motif « Aidons ce pays ».
Chaque motion onusienne a donc un coût supporté par le budget de l’ONU : 500 K€ par motion déposée, peu importe si elle est approuvée au final ou pas. Tout le budget de l’ONU n'est cependant pas consacré aux motions, sinon les membres du Bureau de l’ONU verraient leurs possibilités d’action fortement réduites. Un maximum de 50% du budget de l’ONU serait réservé pour les motions onusiennes, et cette somme est prélevée d’office sur les recettes onusiennes au passage du tour. Il est donc inutile pour le SG de conserver un reliquat de budget dans les caisses de l’ONU pour le vote des motions du tour.
S’il y a beaucoup de motions déposées et un faible budget à l’ONU, il y aura forcément un paquet de motions qui ne passeront pas, malgré que la majorité se soit prononcée en leur faveur. Il est probable que la sélection entre les motions financées ou pas se fasse suivant l’ordre de dépôt des motions à l’ONU, et non en considérant les motions qui ont recueilli le plus de votes. Mais cela reste à confirmer.
Subir des motions onusiennes
Tous les pays qui ont fait l’objet d’une motion onusienne approuvée par la majorité des votants, dans la limite du budget de l’ONU, et non contrée par un veto, en subissent les effets.
Les conséquences des motions onusiennes sont diverses et variées. Certaines ont un effet ponctuel, d’autres un effet qui s’étend sur plusieurs tours. Les motions « négatives » font baisser certains scores, mais peuvent également affecter les possibilités d’actions diplomatiques du pays cible. Vous pouvez consulter la documentation du jeu pour voir quels sont les types de motions possibles et leurs effets.
Les commissions d’enquête donnent le choix au pays cible : soit celui-ci décide de ne pas collaborer avec les enquêteurs et il subit les malus prévus pour ce genre de motion, soit il choisit de collaborer et alors la commission d’enquête dévoilera progressivement certaines actions secrètes qu’il a effectuées les tours précédents. Ce choix doit être fait à chaque tour tant que dure la commission d’enquête. Les effets autres que les malus en points ne sont cependant pas annulés en cas de collaboration.
S’il collabore à une commission d'enquête, les transferts discrets d’argent dans lesquels le pays cible est impliqué pendant les quelques tours qui précèdent la commission d'enquête sont rendus publics. Par exemple, si on table sur le fait qu’une commission dure 6 tours et que le pays cible décide de collaborer à l’enquête à chaque tour, seront donc dévoilés les transferts discrets qui le concernent durant les 6 tours qui précèdent le vote de la motion (le tour auquel a eu lieu le vote est compris dans les 6 tours).
En plus des transferts discrets d’argent, d’autres actions réalisées en mode discret peuvent être révélées par une commission d’enquête, comme le financement et la création de groupes rebelles (pour les groupes soutenus par le pays visé, pas les groupes qu’il subit), ou encore la publication de RDP anonymes. Les actions réalisées par les espions ne sont cependant pas révélées.
Des transferts discrets et des recherches discrètes de technologies militaires, ainsi que des ventes d’armes discrètes peuvent être découverts par des commissions d’enquête sur le trafic d’armes. A noter également que ces commissions d’enquête sur le trafic d’armes empêchent les réceptions de chefs d’état, ainsi que les développements militaires internes. Elles empêchent également des pays tiers de nous proposer des ouvertures d’ambassades, des campagnes de promotion, des réunions spécifiques au régime, des échanges culturels ou des alliances économiques. Les commissions d’enquête (simples) s’accompagnent aussi de certains de ces effets secondaires, peu importe si le pays collabore ou pas avec les enquêteurs.
En cas de non collaboration avec les enquêteurs de l’ONU, les malus prévus s’appliquent dans las catégories de points concernées (économique, politique, scientifique et/ou militaire), et la communauté internationale est informée du refus du pays cible de collaborer.
On peut parler également de l’embargo sur les armes, qui empêche les transferts officiels d’armement stratégique, mais pas les ventes d’armes sous le manteau. Il rend également impossible la conclusion d’accords et alliances militaires pendant toute sa durée.
La motion d’intervention armée est la plus contraignante de toutes, puisqu’elle empêche un grand nombre d’accords ou aides, et elle annule également le malus diplomatique en cas de déclaration de guerre contre le pays qui fait l’objet de la motion.
Poser un veto sur les motions onusiennes
Les membres permanents du Conseil de Sécurité (pour autant que ce soient des PJ), ainsi que le SG, sont susceptibles de poser leur veto sur n’importe quelle motion déposée à l’ONU, sans limite de nombre de motions. Il s’accompagne d’une perte de score diplomatique global pour le pays qui en fait usage (autour de -1% par veto) lorsque le vote aurait débouché sur l’approbation de la motion. Si, au contraire, la motion est rejetée par une majorité de votants, le veto, même s’il a été posé, est considéré comme n’ayant pas été utilisé, et il n’y a donc pas de perte de score diplomatique.
Etre élu au poste de SG
Pour être élu, il faut d’abord se déclarer candidat. Et ne peuvent se déclarer candidats que des PJ, excepté les membres permanents du Conseil de Sécurité.
Chaque candidat doit au moins faire un discours de candidature pour présenter son programme ou les raisons qui l’ont amené à se présenter. Il peut également se choisir un avatar, qui peut être différent de celui de son dirigeant, et qui sera visible sur la page des élections. L’idée c’est de pouvoir alterner les deux avatars au cours de tout le mandat du SG.
Un SG est élu pour un mandat de 4 trimestres. Il peut se faire réélire s’il se présente à nouveau.
Voter lors des élections au poste de SG
Tous les PJ, sans restriction, peuvent prendre part au vote pour l’élection du SG, qui a lieu tous les 4 tours. Même les pays envahis peuvent voter, pour autant que leurs dirigeants soient encore présents sur la scène internationale. Les PNJ ne votent pas.
Ces élections sont organisées a priori sur deux tours. Mais si l’un des candidats en lice récolte plus de 50% des voix au premier tour, il est déjà désigné comme gagnant du scrutin. Si aucun candidat n’atteint plus de 50% des voix au premier tour, les deux candidats arrivés en tête sont qualifiés pour un deuxième round, qui aura lieu au tour suivant, et qui désignera alors le vainqueur.
Faire partie du Bureau de l’ONU
C’est le SG, une fois qu’il est entré en fonction, qui nomme les membres du Bureau de l’ONU, au nombre de quatre. Il a le choix parmi des ressortissants de tous les PJ, même parmi des membres permanents du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ces personnes ne sont pas forcément censées avoir un lien avec la politique menée par leur pays d’origine, même si, dans la pratique, il arrive que les institutions onusiennes servent des intérêts particuliers. Mais on peut rencontrer également des fonctionnaires intègres, qui savent prendre leurs distances.
Chacun des 4 membres du Bureau de l’ONU dispose de leviers spécifiques à l’institution qu’il dirige :
- Secrétaire Délégué à la Justice (SDJ) : il peut envoyer des Casques Bleus (voir l’article) dans des pays en guerre (1000 K€ par unité déployée) pour essayer d'empêcher des attaques ou des annexions (3 unités de CB maximum par territoire); il peut également déployer des Casques Bleus dans la capitale de certains pays qui ne sont pas en guerre (pays qui ont moins de 750 points de score politique), pour essayer de stabiliser la situation politique de ces pays (3 unités de CB maximum par pays) ; il peut par ailleurs aider des pays à lutter contre les rebelles (2500 K€ par aide) (on parle ici du score de rebelles du pays) qui leur causent des troubles (le nombre d’aides par pays est limité à 3 par tour).
- Directeur de la Banque Mondiale (BM) : il peut accepter ou refuser les demandes de prêt qui sont soumises à la Banque Mondiale, faire augmenter ou baisser le taux d’intérêt de la banque (5000 K€ pour une variation de 1% du taux de la banque, à la hausse ou à la baisse), et augmenter les fonds disponibles de la banque (2500 K€ par opération d’augmentation + une ou plusieurs tranches de 25000 K€ qui vont se rajouter aux fonds disponibles) - voir l'article sur les banques publiques
- Directeur du Fonds Monétaire International (FMI) : il a un rôle similaire à celui de la Banque Mondiale, si ce n’est que les critères de qualification pour un prêt sont plus bas au FMI, et qu’il peut donc recevoir plus de demandes ; le coût de la variation du taux d’intérêt est également plus faible (4000 K€ pour une variation de 1% du taux de la banque, à la hausse ou à la baisse), tandis que l’augmentation des fonds de la banque se fait de la même manière (2500 K€ par opération d’augmentation + une ou plusieurs tranches de 25000 K€ qui vont se rajouter aux fonds disponibles) - voir l'article sur les banques publiques
- Directeur du PNUD : il peut octroyer des aides économiques (3500 K€ par aide) ou scientifiques (2500 K€ par aide) (maximum 3 de chaque sorte par tour et par pays) à des pays à la traîne dans ces domaines et qui ne dépassent pas la moyenne mondiale du score économique ou scientifique ; les effets de chacune de ces aides sont respectivement de +100 points pour le score économique et de +50 points pour le score scientifique du pays bénéficiaire.
Comme précisé plus haut, les actions des membres du Bureau de l’ONU ont chacune un coût (sauf le fait d’accepter un prêt). Elles peuvent avoir lieu à n’importe quel moment du tour, pour autant que l’institution concernée dispose d’un budget suffisant (qui lui a été octroyé par le SG en puisant dans le budget global de l’ONU).
Faire partie du Bureau de l’ONU ne consiste pas seulement à appuyer sur des boutons. Il s’agit également de mener une politique et de la faire connaître. Le rôle du SDJ s’apparente aussi à celui d’un médiateur, complémentaire au SG, et son importance est capitale puisqu’il peut notamment influencer le déroulement de conflits armés, en déployant des Casques Bleus dans des pays en guerre, ce que le SG lui-même n’a pas le pouvoir de faire.
Gérer le budget de l’ONU
Dans un premier temps, c’est la prérogative du SG de gérer le budget de l’ONU, budget qui est alimenté à chaque passage de tour par les cotisations des pays membres (PJ et PNJ), ainsi que par les intérêts perçus par les banques onusiennes (BM et FMI). De ces recettes sont soustraits d’office les coûts des motions soumises au vote au cours du tour précédent. Les fonds ainsi obtenus se retrouvent dans la caisse centrale de l’ONU, gérée par le SG. Ces fonds sont conservés d’un tour sur l’autre, on n’est pas obligé de les épuiser entièrement.
La cotisation à l'ONU de chaque pays est calculée sur base des recettes générées grâce au score économique du pays (et non pas sur l'ensemble du budget du pays).
Les PNJ cotisent à 1%. Les PJ peuvent choisir leur taux entre 0 et 5%. En fonction du taux de cotisation choisi, les PJ peuvent se voir appliquer un petit malus diplomatique au passage du tour (-1% de diplo globale). Plus leur cotisation approche des 5%, plus ils ont de chances d'éviter le malus diplomatique :
- 0% de cotisation à l'ONU = malus de -1% en diplomatie globale
- 1% de cotisation à l'ONU = 80% de probabilité d'avoir le malus de -1% en diplomatie globale
- 2% de cotisation à l'ONU = 60% de probabilité d'avoir le malus de -1% en diplomatie globale
- 3% de cotisation à l'ONU = 40% de probabilité d'avoir le malus de -1% en diplomatie globale
- 4% de cotisation à l'ONU = 20% de probabilité d'avoir le malus de -1% en diplomatie globale
- 5% de cotisation à l'ONU = pas de malus en diplomatie globale
C’est le SG qui décide quand et comment répartir le budget global entre les différentes institutions contrôlées par les membres du Bureau de l’ONU, en fonction de sa politique et des besoins exprimés par ces institutions.
Une fois le budget global réparti entre les membres du Bureau de l’ONU, chacun d’eux gère son propre budget comme il l’entend, et dans le respect ou non de la politique annoncée.
Recevoir un salaire
Les membres du Bureau de l’ONU peuvent recevoir un salaire de la part du SG, salaire qui est limité à une certaine proportion du budget total de l’ONU (10%, semble-t-il). Le SG ne peut pas s’attribuer directement de salaire à lui-même (mais les transferts de fonds entre pays sont possibles).
Proposer un ODJ
Le SG peut proposer à l’ordre du jour (ODJ) un point dont il juge qu’il mérite d’être soumis à un vote de la part des membres de l’ONU. Le contenu de l’ODJ est laissé à la discrétion du seul SG. Une fois validé, il ne peut ni être modifié par la suite ni être annulé.
Voter un ODJ
Seuls les PJ peuvent voter l’ODJ proposé. Et personne ne peut poser de veto.
La valeur légale des ODJ est laissée à l’appréciation des joueurs, et suscite souvent beaucoup de discussions entre les dirigeants au sein des parties.
Les résultats détaillés des ODJ, avec la liste des votants, peuvent être retrouvés dans les archives des actions du tour, en cochant la catégorie « inconnu ». Le contenu des ODJ, sans le détail des votants, peut aussi être consulté dans le menu ONU > Bureau & élection, en suivant le lien « Historique de l’ONU ».
Faire un voyage officiel
Cette possibilité est réservée au SG. Celui-ci peut effectuer un voyage officiel par trimestre dans le pays de son choix, cela ayant pour effet d’augmenter le score politique du pays visité. Ce gain politique n'est pas toujours le même, il varie suivant le score politique du pays visité (plus le score est bas, plus le gain lié à la visite sera élevé), ainsi que suivant le score diplomatique global du pays d'origine du SG (le pourcentage de ce score diplomatique sera appliqué au gain politique de la visite, générant donc une réduction de ce gain).
Ce voyage officiel ne coûte rien, ni au SG, ni au contribuable.
Réactions
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