Rebelles - lutte contre les groupes rebelles
Si la prise de contrôle, par un pays ami, des groupes rebelles qui agissent sur votre sol s’avère un échec ou semble fort improbable, vous devrez alors faire face vous-même à ces rebelles.
Heureusement, il est possible pour les pays victimes de réagir face à ces groupes. Et le plus tôt est le mieux. Il est préférable en effet ne pas les laisser se développer avant de prendre les mesures qui s’imposent, sinon la lutte risque d’être longue, coûteuse et pas gagnée d’avance.
Diverses mesures politiques ou militaires sont à la disposition des états qui accueillent des groupes rebelles chez eux. En voici la liste avec les effets correspondants :
- arrestations massives : baisse du soutien populaire au groupe rebelle (-1%), mais légère baisse également du score politique et du score diplomatique global (-1% de diplo globale).
- arrestations ciblées : une nouvelle action apparue en V11, elle permet la baisse du soutien populaire du groupe rebelle dans les mêmes proportions que les arrestations massives (-1%), avec un très léger effet négatif sur le score politique, et sans effet diplomatique.
- offrir une amnistie aux rebelles qui déposent les armes : baisse du soutien populaire au groupe rebelle (-2%), mais légère baisse du score politique.
- négocier la réintégration des rebelles dans la société civile : baisse du soutien populaire au groupe rebelle (-3%), mais baisse du score politique parfois conséquente (ça peut aller jusqu’à plusieurs dizaines de points).
- négocier la création d’un gouvernement d’union nationale intégrant des ministres issus de la rébellion : baisse du soutien populaire au groupe rebelle (-4%), mais baisse du score politique parfois conséquente (ça peut aller jusqu’à plusieurs dizaines de points).
- envoyer l’armée combattre les rebelles : c’est la formule la plus radicale, et elle implique l’armée, donc vous avez intérêt à avoir assez bien d’unités d’assaut (c’est là qu’intervient leur capacité contre les rebelles, différente suivant le type d’unité) sur le territoire concerné si vous optez pour cette mesure. Des unités étrangères peuvent également servir. Via cette mesure, vous pouvez dégommer jusqu’à 3 unités rebelles par tour, mais il se peut que vous n’en détruisiez aucune. Certains types d’unités rebelles sont plus résistants que d’autres. Vous (et vos alliés) pouvez également perdre quelques unités d’assaut dans l’opération, comme il se peut que vous n’en perdiez aucune. Le rapport de forces a peut-être son importance. Le but de cette mesure est de décapiter le groupe rebelle en neutralisant si possible le leader charismatique, ou l’éventuelle autre unité de commandement, sans qui le groupe rebelle n’est plus grand-chose. Et même si vous n’arrivez pas à avoir le leader, quelques unités rebelles en moins c’est déjà appréciable. Néanmoins, une pénalité diplomatique a été ajoutée depuis la V11 (-1% de diplo globale) et rend ce genre d’opération musclée moins intéressante.
- négocier la reddition des rebelles : légère augmentation du score politique, mais sans effet sur le soutien populaire du groupe rebelle.
La politique anti-rebelles peut donc se décliner selon deux grands axes : on peut tenter soit de réduire le soutien populaire du groupe rebelle pour le ramener à 0%, soit de combattre directement les unités rebelles pour en zigouiller un maximum, en espérant avoir la peau du leader charismatique (ou de l’éventuelle autre unité de commandement) le plus tôt possible.
Tant que le groupe rebelle n’a que peu de soutien populaire, la méthode douce a quand même des chances de marcher, mais le groupe rebelle peut dans le même temps accroître par divers moyens son soutien populaire. Dans ce cas, il faut être assez lucide pour passer si nécessaire à la deuxième solution, qui est l’affrontement. Il ne faut pas perdre de vue que le gouvernement ne dispose que d’une seule mesure anti-rebelles par tour pour chaque groupe rebelle, alors que les groupes rebelles disposent chacun de plusieurs unités rebelles, qui ne vont pas forcément toutes réussir leur action, mais dont l’effet combiné peut, en cas de réussite, rendre la politique anti-rebelles insignifiante si elle est trop molle.
Cependant, depuis la V11, une pénalité diplomatique accompagne les opérations de combats contre les rebelles, ce qui rend ce choix plus difficile. Un pays en délicatesse avec son score diplomatique global et/ou ne disposant pas de troupes suffisantes et efficaces sur le territoire où le groupe rebelle sévit, devra réfléchir à deux fois avant de franchir le pas.
Les PNJ appliquent également des politiques anti-rebelles s’ils sont victimes de groupes rebelles.
Les rebelles
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