Rebelles - les différentes sortes de rebelles
Comme vous le savez peut-être, il y a plusieurs sortes de rebelles dans GnooDiplo :
- les rebelles exprimés à travers le score de rebelles, à la fois pour le pays et pour les territoires. C’est la forme la plus ancienne de rebelles dans Gnoodiplo. Elle a subi quelques modifications durant la V9, ce qui fait que le score de rebelles du pays est désormais la traduction chiffrée de la présence de « groupes rebelles » dans le pays (voir point 3 ci-dessous pour les groupes rebelles), à raison de 100 points pour 1% de soutien national à un groupe rebelle. Auparavant, le score de rebelles avait un impact négatif sur le budget, mais ce n’est plus le cas (par contre, les groupes rebelles peuvent causer des pertes économiques de façon plus ou moins aléatoire). Cependant, il contribue désormais au risque de révolution du pays. Pour réduire le score de rebelles sur un territoire, les moyens sont assez limités : certains bâtiments le permettent, mais c’est à peu près tout. De ce fait, ce score subsiste parfois sur un territoire sans qu’on sache quoi faire. Le score de rebelles du pays, quant à lui, peut être diminué ponctuellement grâce aux aides contre les rebelles, qu’elles proviennent d’autres pays ou de l’ONU (c’est le SDJ qui les octroie), ou bien via des politiques intérieures de lutte contre les rebelles (en causant cependant des morts et des réfugiés parmi la population). Il faut insister sur le « ponctuellement » car si l’effet de ces actions est visible à court terme, le score de rebelles est recalculé à chaque passage de tour sur base des groupes rebelles présents dans le pays, ce qui fait qu’il peut repartir à la hausse si le problème des groupes rebelles n’a pas été réglé à la racine, car les politiques et les aides anti-rebelles ne traitent que les symptômes. Mais réduire ce score ponctuellement peut être utile pour diminuer le risque de révolution. On peut également noter une incohérence, dans la mesure où le score de rebelles du pays peut revenir à 0 alors qu’il peut subsister un score de rebelles sur certains territoires.
- lorsqu’un territoire est annexé ou qu’il est libéré comme faisant partie d’un pays nouvellement créé, apparaît sur le territoire un pourcentage de risque de troubles. C’est un phénomène automatique de réaction de la population à l’envahisseur, ou de réaction identitaire. Si ce pourcentage est trop élevé, il peut y avoir des conséquences néfastes sur place, comme diverses destructions d’unités ou d’infrastructures. Il se pourrait même que si le risque est à 100%, le territoire retrouve son indépendance (mais ça n’a jamais été constaté encore). Ce risque dépend de plusieurs facteurs : score politique du pays annexeur, éloignement du territoire par rapport à la capitale du pays annexeur, proportion de ressortissants du pays annexeur vivant sur le territoire, ainsi que le nombre d’unités d’assaut présentes sur le territoire, peu importe leur origine. Le risque de troubles peut diminuer au fil des tours si le pays annexeur fait ce qu’il faut ou si d’autres pays interviennent en y postant des unités d’assaut (ce qui est pratiquement la seule solution en cas de création d’un nouveau pays). La simple présence de troupes sur place diminue naturellement le risque potentiel avec le temps, ce qui fait qu’on peut progressivement rapatrier des unités d’assaut sans faire augmenter le risque (toutes choses restant égales par ailleurs).
- le troisième type de rebelles, c’est ce qu’on pourrait appeler les groupes rebelles. Ils sont parfois créés automatiquement (lors de révolutions ou d'annexions), parfois créés par d’autres pays. C’est un système plus évolué et complexe. Et c’est ce qui sera expliqué plus en détail dans cette section.
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